(we were born to be real not perfect)

justin dasilva

zac efron | tumblr ≈ cit

(nom, prénom): dasilva, justin (âge, date & lieu de naissance): 28 ans, 24 mars 1987 en australie. (origines, nationalité): portugaise et australienne. (situation monétaire): aisé. (métier): entraineur personnel. (statut civil): célibataire. (orientation sexuelle): hétéro. (situation familiale): parents divorcés, enfant du milieu (un frère ainé et une sœur cadette). (traits de caractère): hyperactif, impulsif, jaloux, rancunier, sportif, dragueur, sociable, sympathique, amusant, bout en train, inconscient, vaniteux, moqueur, têtu, s'adapte facilement. (avatar): zac efron. (groupe): summer.

(met me in your backyard)
ses parents se sont divorcés lorsqu'il avait onze ans et contrairement à son frère et sa sœur, il l'a bien vécu. est resté avec sa mère, qui passait son temps à déménager, étant donné qu'elle changeait souvent de petit ami. voit rarement son père, il a un peu de mal avec ce dernier, car Justin n'a pas voulu suivre ses traces. il a un berger allemand nommé Rex et c'est son bébé. lorsqu'il en parle, il perd toute virilité. adore tout ce qui est surnaturel ou paranormal. croit aux esprits et aux extra-terrestres. plus jeune, avec ses potes, ils se sont préparés en cas d'invasion et on un plan de secours. on ne sait jamais. se fait un marathon de vieux film d'horreur au moins une fois au trois mois. aussi sportif qu'il peut être, lorsqu'il joue aux jeux-vidéos, son divan devient son meilleur ami et sa playstation, sa femme. il peut y passer une journée entière, comme un vrai no-life. avec le divorce de ses parents et sa mère qui n'a aucune stabilité avec les hommes, il croit que toutes relations est destinées à une fin. il y a des exceptions, mais en 2015, trouver l'amour est impossible. tue le temps avec tinder. lorsqu'on lui demande pourquoi il y est inscrit, il dit qu'il ne fait que regarder les filles et les juger (ce qui est une partie de la vérité), mais en fait, il y a déjà rencontré quelques-uns de ses plans cul. il joue dans une petite ligue de baseball. il a été diagnostiqué avec un trouble du déficit d'attention et d'hyperactivité lorsqu'il était jeune. la solution avait été de l'inscrire dans un sport au lycée et il en est devenu passionné. il a une collection de carte dont il ne peut pas se détacher. il n'aime pas trop parler de ses sentiments, il préfère les refouler et passer à autre chose. par contre, lorsqu'il se met en colère, il est plus susceptible de péter les plombs à cause de cela. étant entraineur personnel, il se doit de suivre un régime - ou du moins, manger bien -, mais à chaque mercredi et dimanche, il peut tricher. habituellement, les gens ont droit à une seule journée, mais lui s'en permet deux. la bouffe, c'est la vie, surtout quand on doit s'en abstenir. sait jouer de la trompette. ce n'est pas l'instrument le plus sexy, mais c'est celui qu'on lui avait imposé au lycée. au moins, ça fait original.

(all across the alienation)
Justin est l'ami sur lequel on peut compter pour les petits délires, il n'a jamais vraiment eu de limite à ses conneries. Parfois, ça peut attirer des problèmes, mais au moins ça crée des souvenirs et de quoi raconter aux autres. Il déteste les silences, ça le rend mal à l'aise et à l'impression d'être inintéressant. Du coup, il se met à parler pour rien dire et généralement pour parler de son chien. Tant qu'à y être. Il montre plein de photo et explique pourquoi c'est le meilleur chien, ce qui peut sembler mignon, mais ça devient un peu relou à la longue. Pour ce qui est de l'écoute, il a un peu de mal de ce côté. Si ce n'est pas assez amusant ou intéressant à son goût, vous le perdez. On dirait qu'il écoute, mais en fait il est en train de penser à ce qu'il va manger pour diner ou encore une fois, à son chien. Justin se moque énormément sans vraiment prendre conscience que ses paroles peuvent blesser ou embarrasser quelqu'un.

(pseudo, prénom): pakam. (âge, pays): 21, canada. (connexion): 5 sur 7. (un petit mot sur le forum): magnifique et simple, ce qui fait changement des forum avec dix milles trucs sur la page d'accueil qui tue mon internet (un smiley):

(told me you were leaving)
Mon frère, ma soeur et moi étions réunis autour de la table par nos parents. Mon frère était confus, ma sœur avait une larme qui coulait sur la joue et moi, rien. Mon regard alternait de l'un à l'autre, je me demandais si c'était leur réaction qui était exagérée ou c'était la mienne qui était légèrement sans cœur. Nos parents nous annonçaient leur divorce et tout ce que je ressentais n'était qu'un soulagement. Pas que ça me faisait plaisir de voir leur union prendre fin, mais ne plus avoir à supporter mon père sept jours sur sept, voilà ce qui me rendait heureux. Être l'enfant du milieu, c'est difficile. La plus jeune était le bébé, donc on ne peut pas s'acharner sur elle. Le plus vieux, il est celui qui excelle et étant après lui, je dois essayer de le surpasser. On dit que nos parents nous aiment peu importe ce qu'on devient, faudrait le dire à mon père. Pour lui, ses enfants devraient être en compétition l'un contre l'autre pour son amour et exceller dans tous les domaines. Personne n'est parfait, enfin selon moi. Parce que apparemment, mon frère Joshua l'était à ses yeux. C'est pourquoi il avait droit à toute l'attention de notre vieux et même si je le niais, je l'enviais un peu. Le seul problème avec moi, c'était que j'avais un déficit d'attention et me concentrer était loin d'être ce que je faisais de mieux. Un simple bruit, une discussion en arrière-plan, un objet étrange, tout attirait mon attention plus que ce que je faisais. Et même s'il n'y avait rien en vue pour me distraire, je me perdais dans mes pensées. Mes chances de devenir l'enfant star de la famille étaient minimes. Bref, au moins, je pouvais compter sur ma mère. Mon choix fut facile pour moi lorsqu'il était temps de choisir qui allait vivre avec qui. Même si cela voulait dire rester avec ma grand-mère jusqu'à ce qu'on se trouve un appartement, je m'en foutais. Les deux autres restaient avec mon père et je les voyais à chaque fin de semaine. Un weekend, il le passait chez nous et l'autre j'allais les rejoindre. Ils me manquaient, mais c'était ainsi que j'avais choisi. Fallait bien que l'un de nous reste avec notre mère quand même. Cependant, ça ne prit pas de temps avant que cette dernière se trouve un nouveau petit ami avec qui nous emménagions après seulement deux semaines de fréquentation. J'aurais dû m'inquiéter, car je ne connaissais pas vraiment le mec, mais même si j'avais onze ans, je ne le réalisais pas vraiment. Si elle lui faisait confiance, pourquoi je ne le ferais pas moi non plus ? Ce ne fut pas le premier avec qui elle s'embarqua s'en vraiment prendre le temps d'y penser. En même temps, son boulot de femme de chambres ne lui rapportait pas beaucoup alors elle se débrouillait. Pour elle, la solution était de trouver des mecs avec des maisons. Comme ça, pas besoin de se trouver un petit appartement miteux et d'essayer de nous faire vivre. On se faisait vivre.



« Debout Emma ! Il est bientôt midi, c'est le temps de te bouger le cul un peu. » Étendu dans le lit, j'étais à moitié endormie. J'entends la voix, mais n'y prêtait pas attention. De toute façon, elle ne s'adressa pas à moi, aucune raison de répondre. Et puis, j'étais enroulé confortablement dans les couvertures et rien n'allait me faire sortir de ce lit. Du moins, c'était ce que je croyais. Soudainement, je sentis une pression sur le lit et un corps s'écraser sur moi, son coude s'enfonça dans mon estomac, ce qui me fit sortir vite des couvertures en gémissant. En voyant que je n'étais clairement pas la fille qu'elle cherchait ou que je n'étais tout simplement pas une fille, elle se releva d'un bond en criant. « Non, mais ça va pas ?! » Le réveil de merde ce matin. Je la regardais un peu perdu, me demandant ce qu'elle pouvait bien foutre dans la chambre. « Et bien, trouver un étranger dans le lit de ma sœur pendant son absence est loin de me rassurer. » Tout s'expliquait maintenant. À vrai dire, je ne savais même pas qu'Emma était partie. De plus, je ne savais même pas qu'elle avait une sœur - en fait, je ne savais pas grand chose sur elle, après deux rendez-vous. Avoir su, je serais retourné chez moi pour éviter une situation malaisante comme celle-ci. « Je suis qu'un ami t'inquiète. Je ne vais pas te violer ou quoi que ce soit. » Elle lâcha un soupir en secouant la tête avant de quitter la pièce. Impossible de me rendormir après cette scène. J'enfilais donc mes vêtements avant de quitter la chambre à mon tour et d'aller à la salle de bains avant de me rendre à la cuisine pour me préparer un verre de jus. « Oh et surtout ne te gênes pas, fait comme chez toi. » Je tournais mon regard vers celle qui m'avait réveillé, elle avait les sourcils froncés et je pouvais sentir le sarcasme dans son ton de voix. J'ai toujours eu cette manie de me mettre un peu trop à l'aise chez les autres et ça ne plaisait pas à tout le monde. Je lui glissais un mince sourire espiègle avant de lever mon verre comme si je portais un toast et d'en prendre une gorgée. Elle leva les yeux au ciel, ce qui me fit rire. « Alors, t'es qui ? Son petit copain ? Parce qu'habituellement, elle les met dehors avant que je les trouve. » J'arquais les sourcils. « Habituellement ? » Je ne sais pas pourquoi je posais la question, si elle m'avait ramené chez elle, elle l'avait sûrement déjà fait dans le passé avec d'autres mecs. « Tu crois que t'es le seul à passer par là ? » Elle semblait trouver cela drôle, mais j'en restais tout de même indifférent. De toute façon, ce n'est pas comme si j'étais jaloux. Emma n'était qu'une amie et notre relation était purement physique. On sortait, on buvait, on couchait. Tout aussi simple. Ce qui explique pourquoi je ne suis pas trop au courant de ce qui se passe dans sa vie. Même que je ne savais pas où elle se trouvait aujourd'hui. Mon silence à sa question y répondait. Dans le pire des cas, elle pensera que je suis amoureux de sa sœur et honnêtement, je m'en foutais un peu de ce qu'elle pouvait penser de ma relation avec cette dernière. « Sinon, moi c'est Justin, même si tu t'en fous un peu. » Elle ne semblait pas vraiment m'aimer, en même temps, elle ne me connaissait pas. Elle me semblait quand même sympa, légèrement agressive, mais j'aimais bien. « Kim. »




« Mais arrête de te trouver des excuses et assume ! » Je venais de stationné l'immeuble où se trouvait l'appartement de Kim. Après être passé chez elle pour ramener un truc à Emma, je lui avais proposé de sortir. Nous n'avions pas commencé du bon pied tous les deux, mais après avoir passé quelques autres nuits avec sa sœur, j'avais appris à la connaître et l'apprécier un peu plus. Quand Emma m'invitait, j'arrivais plus tôt qu'elle pour passer du temps avec Kim et c'était de même quand elle partait. En fait, si j'y repensais bien, elle était la raison pour laquelle j'allais toujours voir Emma. « Je te jure, la table était tout sauf droite. Ma boule déviait toujours vers la droite. » Peut-être que j'étais mauvais perdant, mais c'était quand même amusant d'essayer de la convaincre que j'avais raison. Sans vraiment savoir pourquoi, j'ai toujours trouvé cela drôle de me débattre sur un truc débile comme ça. Elle échappa un rire et je fis de même en la regardant. Avec elle, je n'avais pas à me passer pour un autre et c'était ce que j'appréciais le plus de nos moments ensemble. J'étais seulement Justin, le garçon débile. « Et bien, merci pour la soirée. C'était cool. La prochaine fois je vais te laisser gagner, c'est promis. » Je secouais la tête, je sens que j'allais en entendre parler encore longtemps. Elle s'apprêtait à descendre du camion, mais avant qu'elle puisse ouvrir la portière, je glissais ma main sur sa joue et lui tournais la tête vers moi pour venir déposer mes lèvres contre les siennes. Pour le coup, je n'avais pas vraiment pensé avant d'agir et j'avais agi par envie. Avant que je puisse sentir qu'elle répondait à mon baiser, elle posa ses mains sur mon torse pour me repousser brusquement. « Pourquoi t'as fait ça ? » Honnêtement, je ne savais pas trop pourquoi, mais en sa compagnie, je me sentais toujours bien et j'avais comme sentis que l'embrasser était naturel. Elle avait quand même accepté cette soirée avec moi. « J'sais pas, j'en ai eu envie. » « Et tu crois que tu peux te permettre ? Tu couches avec ma sœur bon sang. Je ne suis pas comme elle, alors oublie ! » Dit comme ça, j'étais un connard, mais ce n'était pas comme ça. Elle était loin d'être comme Emma et je le savais, c'est pourquoi je préférais passer du temps avec elle. « Sache que c'est pour passer plus de temps avec toi que je le fais. » Sérieusement, je n'aidais pas vraiment mon cas en ce moment. Je me calais et c'était pour ça que normalement, je ne parle pas de mes émotions. J'ai du mal et je ne fais que dire des choses qui blessent ou qui me fait passer pour un con. « Wow. Je me sens tellement mieux quand tu le dis comme ça. Coucher avec elle doit être si difficile. » Je soutenais son regard, un peu irrité par son attitude, mais d'un côté, je ne la blâmais pas. Par contre, j'aurais préféré qu'elle comprenne ce que je tentais de lui dire, car ce n'était pas vraiment mon genre et j'aimerais bien ne pas me prendre un râteau quand je le fais. Mais ce fut le cas, alors mon égo en avait pris un coup. Sur ces mots, elle sorti du camion et disparu dans l'immeuble. D'un coup de poing, je frappais mon volant avant de m'y appuyer le front. J'étais officiellement con...

Quelques mois se sont écoulées depuis notre dispute et je ne les plus revu depuis. De même pour Emma. En fait, je ne voyais plus le but d'aller voir cette dernière maintenant. De toute façon, elle s'était sûrement déjà trouver un nouveau mec pour venir monopoliser son lit et boire son jus. Bref, maintenant, je pouvais continuer à faire ce que je faisais de mieux. C'est-à-dire, bosser et faire n'importe quoi. Ma sœur a emménagé chez moi, car elle attend un bébé et que le père est un connard qui préfère fuir ses responsabilité. Et puis, elle a peur de dire aux parents qu'elle attend un gosse. Disons que c'est plutôt mon père qui fait peur. Ça promet.