(I AM A SINNER WHO'S PROBABLY GONNA SIN AGAIN)

Azelya Zane

Holland Roden | img ≈ Bitch, Don't Kill My Vibe(Kendrick Lamar)

(nom, prénom): ZANE, Azelya, elle tient ce prénom de sa grand-mère du côté de son père. D'après ce que lui à dit ce dernier, elle était une femme merveilleuse. Chaleureuse, aimante et protectrice. Elle aurait pu être le  stéréotype de la parfaite grand-mère maternelle si elle n'avait pas succomber à la suite de la maladie. Elle est très fière de son prénom et à défaut de l'avoir connue, c'est comme si elle partageait un lien avec elle. Clëo est le choix de sa mère. Il parait que c'était le prénom de sa meilleure amie quand elle était petite. Le temps est passé et elle ont perdu contact pour ne plus se voir du tout. Sa mère était sans doute nostalgique de cette amitié lors de sa naissance, car elle a hérité du prénom de celle qui fut l'allié de sa mère pendant son enfance. (âge, date & lieu de naissance): écrire ici. (origines, nationalité): Son père est australien et sa mère est américaine. Ils se sont rencontrés alors qu'il était en Amérique pour un échange universitaire à Caltech. Sa mère était alors qu'une serveuse dans l'espoir de devenir une actrice.  Elle est de nationalité Australienne. (situation monétaire): Elle est pauvre. (métier):  (statut civil): Célibataire (orientation sexuelle): Hétéro (situation familiale): Sa mère est partie à la naissance de sa petite soeur. Elle n’avait alors que 14 ans à l’époque. Son père n’en sait jamais remise, lui qui avait fait tant de sacrifice pour cette dernière. Et le fait qu’elle parte à la poursuite de chimère et, insupportable à ses yeux. Il ne comprend pas pourquoi le fait d’être célèbre et bien plus important que sa famille.  (traits de caractère): charismatique, audacieuse, charmeuse, colérique, fière, courageuse, intrépide, enfantin, impulsif, gourmande, jalouse, possessif, insolente, malicieuse, protectrice, logique, intelligente, loyale, serviable, taquine, tendre, vaniteuse, sociable, violente, téméraire, dangereuse. (Détails):
# Elle fume de la drogue # Sa marque de cigarette sont les malboro light # Elle est prête à tout pour faire de l'argent # Sa mère est alcoolique # Elle peut mourir pour des Oréo # Elle n'est pas du matin # Son petit déj se résume à une clope & du café noir # Elle est accro aux grandes marques de luxe # La seule personne qu'elle aime réellement est sa petite soeur # Sa grande passsion est lire # Elle à un abbonement netflix # Elle deteste dormir seule le soir # Elle adore faire la fête   (avatar): Holland Roden. (groupe): ...

(met me in your backyard)
# Elle fume de la drogue # Sa marque de cigarette sont les malboro light # Elle est prête à tout pour faire de l'argent # Son père est alcoolique # Elle peut mourir pour des Oréo # Elle n'est pas du matin # Son petit déj se résume à une clope & du café noir # Elle est accro aux grandes marques de luxe # La seule personne qu'elle aime réellement est sa petite soeur # Sa grande passsion est lire # Elle à un abbonement netflix # Elle deteste dormir seule le soir # Elle adore faire la fête # Elle vit avec son père alcoolique, son frère bipolaire et l'amour de sa vie, sa petite soeur.

Charismatique, audacieuse, charmeuse, colérique, fière, courageuse, intrépide, enfantin, impulsif, gourmande, jalouse, possessif, insolente, malicieuse, protectrice, logique, intelligente, loyale, serviable, taquine, tendre, vaniteuse, sociable, violente, téméraire, dangereuse.

#L'origine du surnom d'Azélya n'a rien à voir avec un quelconque diminutif. La première clope qu'elle fuma fut à ses douze ans. Son premier joint à quatorze et, son premier joint de beuh, six mois plus tard. Le jour où elle fuma de la «Purple Haze » elle comprit, qu'elle ne fumerait plus aucune drogue mise à part celle-ci. Et jour après jour, elle se tient à cette résolution. Autour d'elle, on la nomma ainsi, mais très vite cela devient juste « Haze » pour gagner du temps. C'est drôle de voir que c'est toujours ceux qui n'ont rien à foutre de leurs journées qui essayent de gagner le plus de temps.#S'il faut savoir quelque chose sur Azélya, c'est qu'elle est le meilleur exemple de déchéance de la jeunesse de nos jours. Elle en a conscience et s'en fout complètement. Pur produit par excellence de la génération Y, elle sait que sa vie est voué à l'échec. Elle n'a pas eu la chance de naître avec une putain de cuillère en or dans la bouche, très bien. Ce n'est pas pour autant qu'elle va s'apitoyer sur elle-même. La seule chose qui en vaut la peine dans ce monde est l'argent. Et tous les moyens son bon pour en avoir. Haze est une délinquante est l'assume entièrement. Elle fait partie de ceux qui n'ont rien à perdre et tout à gagner, de ceux qui ont grandi dans la rue depuis toujours, de ceux qui ont en trop vu pour leur jeune âge.#Quand elle était petite, elle ne pouvait fermer les yeux sans une berceuse et souvent sa mère se servait d'un très vieux tourne-disque. Une fois, alors qu'elle avait passé une journée à enchaîner bêtises sur bêtises, bien avant que sa mère mette les voiles, elle lui avait mis « Georgia On My Mind » pour la calmer. Après cela, elle ne pouvait plus se passer de ce génie du jazz, car Azélya était tout simplement tombée inconditionnellement amoureuse de sa musique.

(all across the alienation)
Haze à un bon délire, du moment que tu fume et boit tu peux être son pote. En faites, elle plein de pote mais très peu de vrais amis. Elle gère très mal l'abandon, dû au départ de sa mère et, du coup, elle fait très peu confiance aux gens. Elle préfère garder ses distances. C'est ce qui fait qu'aux premiers abords, elle peut paraître froide. Mais dès qu'elle te connaît, cela devient carrément une autre histoire.

En ce qui concerne les rares personnes qu'elle considère comme ses véritables amis, elles leur vouent une loyauté sans faille.
Étant comme une seconde famille pour elle, elle attend beaucoup de leur part. Il faut la comprendre, ce sont les seules personnes à qui elle accorde sa confiance et pour elle, c'est quelque chose d'extraordinaire.
Haze est une jeune femme brisée qui ne la sait pas forcément. Elle n'a pas grand chose dans la vie si ce n'est, sa parole et sa confiance, alors oui, elle y tient.

(pseudo, prénom): Pyramids. (âge, pays): La vingtaine, France, Paris. (connexion): Un peu tous les jours (un petit mot sur le forum):      (un smiley):    

(But I don't need love no more, I'll be fine
Sipping wine, Taking time slowly)

© Trumblr ≈ Everyday(Asap)

(told me you were leaving)

Elle est le genre de meuf qui ne te laisse jamais indifférent. Son regard malicieux a tendance à te charmer et t'atteint un peu plus que tu ne l'aurais pensé. C'est là que tu essayes par tous les moyens de lui adresser la parole pour, peut-être la revoir, plus tard ou un a autre jour. Elle t'adresse alors un sourire séducteur et comme si elle avait lu dans tes pensées, elle, s'approche doucement de toi, presque sensuellement. Les lueurs des néons reflètent dans ses yeux et tu as l'impression que des étoiles dansent dans ses yeux. Lentement, sa main frôle ton avant-bras avant de remonter le long de ton épaule et viens se nicher dans le creux de ton cou. Sa tête suit le mouvement ainsi que ses longs cheveux qui te chatouillent gentiment le nez et, elle se retrouve près de ton oreille. D'une voix suave avec un brin de provocation, elle te murmure :

« Haze, enchanté. »

Subjuguée jusqu'à maintenant, tu craques. C'est comme une révélation, il te la, faut, à tout prix. Et tu ne sais pas à quel point justement le prix sera élevé.

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Allongée dans le lit, Haze observait les ronds de fumée qu'elle produisait avec sa bouche, se dissipait petit à petit. Elle en était presque hypnotisait, et même si, elle ne l'avouerait à personne, cela avait un effet relaxant sur elle-même. Là, allongée dans ce fameux lit, à fumer sa cigarette, elle se sentait presque bien. La nicotine pénétrant dans son corps l'apaisait également bien qu'elle regretta de ne pas avoir de beuh sur elle. Elle observa la longue tige blanche garnit d'un bout rougeoyant avant de la porter une nouvelle fois à sa bouche. Sa respiration était calme et en harmonie avec celle de son compagnon. Elle était aux portes de l'étrange et fascinant royaume de Morphée, mais, une voix grave la tira de ses songes et de son observation.

« Tu fais souvent ça ? »

Haze ne prend pas la peine de lui répondre tout de suite. Elle écrase tout d'abord le mégot de cigarette dans le cendrier. Puis, elle se couche sur le flanc et adressa un petit rictus à la silhouette masculine.

« Pourquoi tu veux le savoir ? »

Ce dernier lui caressa inconsciemment les cheveux en l'observant.

« À vrai dire, c'est plus pour faire la conversation qu'autre chose. »

Azelya se redressa et se mit à sourire. De son doigt, elle s'amusa à tracer les veines bleutées sous la peau halée de ce dernier. Cela était sans aucun doute sa première fois. Ils étaient tous comme cela lors de leur première fois. Tous curieux de connaître l'envers dû décor. De savoir combien de temps, comment, ou encore pourquoi. Mais, bien sûr, toujours sur le ton de la conversation.


Haze avait conscience qu'elle était le stéréotype parfait de la petite adolescente qui avait besoin de tune pour pouvoir sortir de la merde, faire vivre sa famille ou bien s'achetait des fringues de luxe. Jusqu'au jour où elle comprit qu'elle ne voulait rien faire d'autre parce qu'elle aimât ce qu'elle fessait. Elle était douée, l'argent rentrait et surtout elle ne dormait plus jamais seule la nuit. Alors, oui, elle aimait ce qu'elle fessait de son corps.

« Tu te montres très curieux, très cher.»

Mais ce qui lui plaisait sans doute le plus, c'est que pendant ces quelques heures où elle s'adonnait aux plaisirs charnels, étaient le fait qu'elle était trop accaparée pour penser au merdier qu'était sa vie. Mais ce qui lui plaisait sans doute le plus, c'est que pendant ces quelques heures où elle s'adonnait aux plaisirs charnels, étaient le fait qu'elle était trop accaparée pour penser au merdier qu'était sa vie. Une mère absente, un père alcoolique et un frère qui l'aimait certes, mais qui critiquait quotidiennement ses choix de vie, alors, qu'il ne fessait pas mieux. Seule, sa sœur restait l'unique personne qui l'importait. Elle s'en voulait d'être si sensible des fois.

Azelya se trouvait même pitoyable d'en être arrivé à un point où elle devait s'occuper l'esprit en permanence pour ne pas penser à sa situation familiale. Mais, par contre, le moyen qu'elle avait pour oublier ses tracas, était tout à fait somptueux. Avec un sourire carnassier, elle fondit sur celui qui partageait le lit, comme s'il était une proie.
« Tu parles beaucoup trop et il ne reste plus beaucoup de temps avant que je ne parte. Tu ne voudrais pas mettre ce temps à profit ? »

Il lui sourit, attrapa son menton et l'embrassa à son tour, cette fois-ci sur les lèvres.
« Oh que oui. »

Il retourna d'un coup et elle sursauta avant de rigoler. Elle se laissa faire quand ce dernier l'embrassa de nouveau tout en la serrant dans ses bras. Merde alors, elle aimait vraiment ça.