(to wanna make you cry)

Amaël Thomas Harris

Jensen Ackles | img ≈ cit

(nom, prénom): Amaël T. Harris (âge, date & lieu de naissance): 34 ans né un 12 février 1981 ici même à  tweed heads. (origines, nationalité): Australien avec quelques ancêtres européens, mais cela compte-t-il vraiment? (situation monétaire): Il ne roule pas sur l'or mais à les moyens de vivre dans un appartement décent. (métier): Infirmier dans une maison de redressement. Il faut bien soigner ces créatures appelées adolescents. (statut civil): Heureux célibataire. (orientation sexuelle): Curieux. C'est d'ailleurs le mot qui défini le mieux Amaël. (situation familiale): Amaël est enfant unique et à perdu son père dans un accident de voiture. Sa seule véritable famille se résume donc à sa mère à qui il rend régulièrement visite à l'hôpital. (traits de caractère): persévérant - observateur - blagueur - fait preuve de mauvaise foi - optimiste - loyal - sarcastique - rancunier - menteur - sportif - impulsif - tête brûlée - rêveur - jaloux. (avatar): Jensen Ackles (groupe): Summer

(met me in your backyard)
• Mieux que quiconque, Amaël sait à quel point la vie est courte. C'est pour cette raison qu'il veut en profiter le plus possible et voyage dès qu'il le peut. C'est également pour cela qu'il se comporte parfois comme un ado, est insouciant et incroyablement curieux. • Il a un chat blanc qu'il a nommé Felix... manque d'imagination total oui. La pauvre bête avait été abandonnée. • La plupart du temps, son bras gauche le fait souffrir. Petit souvenir de l'accident de voiture qu'il a eu avec ses parents losqu'il était enfant. • Il a la fâcheuse tendance à être grossier. Même lorsqu'il n'est pas énervé. Il s'amuse à dire que son langage est "fleuri" d'ailleurs. • A première vue, on pourrait avoir du mal à le croire mais il est très bon cuisinier. Quand il n'a pas la flemme de se mettre aux fourneaux, Amaël peut vous faire de très bons plats. • Il a un tatouage sur l'avant bras droit. Et s'il a une signification, lui seul la connait. • Il n'a jamais touché à la drogue de sa vie, bien qu'il n'y soit pas réticent. Il lui ai arrivé de fumer, mais n'est jamais devenu dépendant. Par contre, il boit... peut être trop. Et les bouteilles vides s'accumulent sur sa table basse.• Il écoute beaucoup de musique, notamment du rock et récemment, écoute en boucle le dernier album d'imagine dragons. • Alors que certains préfèrent le chocolat ou les chips goût barbecue, Amaël lui a pour pêché mignon les fruits séchés. Il pourrait en manger des tonnes s'il le pouvait. • Gamin dans l'âme, il adore jouer aux jeux vidéos et passe beaucoup de temps sur sa Xbox. • Il déteste se sentir à l'étroit. Si un métro ou un ascenseur est trop bondé à son goût, il préféra attendre le prochain.

(all across the alienation)
Amaël n’est pas méchant mais peut être juste un tantinet agaçant. Bien qu’il ait la trentaine, il a tendance à se comporter comme un adolescent et ne se soucie de rien quand il ne travaille pas. Certains trouvent cela énervant qu’un adulte puisse vivre aussi librement, d’autres le voient comme une bouffée d’air frais dans leur vie quelque peu monotone. Car une chose est sûre, vous ne vous ennuierez jamais avec Amaël. Il trouvera toujours quelque chose à faire pour vous divertir, vous faire rire ou vous faire frissonner. Il aime rire et plaisanter, n’aime pas se prendre au sérieux ; mais malgré tout, c’est quelqu’un de très généreux. Infirmier dans un centre de redressement, il  est très méticuleux dans son travail, et aime aider ces jeunes comme il le peut. Il n’est pas faiseur de miracle et le sait bien, mais beaucoup d’entre eux savent qu’ils peuvent lui faire confiance. En somme Amaël est un grand gamin amateur de sensations fortes mais qui sait se montrer responsable quand il le faut.

(pseudo, prénom): K. Plutôt court et facile à retenir~ (âge, pays): un certain âge, quelque part en france. (connexion): 4 jours sur 7. (un petit mot sur le forum): Il me plait déjà    (un smiley):    

(told me you were leaving)

Ce ne sont pas quelques larmes qui coulent le long des joues du jeune garçon mais des torrents. Il observe sa mère, impuissant, tandis que les secours prennent soin d’elle. Il voudrait lui parler, parce qu’après tout, elle peut  peut-être l’entendre malgré ses yeux clos et le sang qui s’écoule en un filet le long de sa tempe. Peut être qu’elle s’inquiète aussi  et veut savoir s’il va bien. Mais Amaël est incapable d’ouvrir les lèvres, de prononcer un mot. Sa gorge est nouée et le moindre son reste coincé ; sans aucun doute par la peur et le choc qu’il vient de subir. Il sent les sapeurs pompiers le transporter sur l’un de ces lits que l’on trouve dans les ambulances, et il sait… malgré le chaos qui règne autour de lui, l’attroupement formé par les secours et les gens curieux, il sait qu’il va être amené à l’hôpital, loin de cet accident. Alors son regard se pose presque instinctivement sur la silhouette de son père… son cadavre. L’horreur qu’il voit est indescriptible et l’adolescent préfère fermer les yeux ; pour ne les rouvrir qu’une fois réveillé à la suite de ses opérations.

Sa vie aurait pu être si simple s’ils n’avaient jamais eu cet accident. Un animal était soudainement apparu sur la route, et le chauffeur qui roulait face à eux perdit le contrôle de son véhicule, percutant de plein fouet la portière du côté du conducteur… Son père ainsi que l’inconnu furent tués sur le coup. Mais sa mère, quant à elle, eu beaucoup moins de chance. Oui elle survécut, et vit encore aujourd’hui.  Mais le trauma crânien qu’elle a subit l’a transformée à jamais.  Son corps s’est remis de ses blessures, mais pas son esprit. Depuis cet accident, sa mère n’est plus que l’ombre d’elle-même. Un corps qui vit, mais elle incapable de parler, ou de réagir à quoi que ce soit… Amaël n’avait que 13 ans lorsque sa vie fut bouleversée.

Il fut alors envoyé dans quelques familles adoptives jusqu’à ce qu’il devienne majeur, enfant des services sociaux qu’il était devenu. Le caractère du garçon changea du tout au tout de nombreuses fois durant son adolescence. D’abord meurtri, il s’était renfermé sur lui-même, parlait très peu et avait du mal à se confier à sa première famille adoptive qui faisait de son mieux pour le protéger et le soutenir. Il leur en était d’ailleurs reconnaissant, mais tout ce qu’Amaël voulait, c’était son père en vie, et sa mère en bonne santé. Il ne voulait pas prétendre être heureux alors qu’il ne l’était pas, ne voulait pas prétendre s’intégrer à une famille qui au final ne serait jamais la sienne. Jusqu’à l’âge de 15 ans, il resta chez eux. Jusqu’à ce que la mère tombe enceinte de leur 3e enfant et qu’il n’y est plus assez de place pour tout le monde.
Amaël ne leur en n’a pas voulu. Il savait qu’il était presque impossible pour une enfant pris en charge par les services sociaux de rester dans la même famille toute son enfance. D’autant plus que cette année là, alors qu’il entrait au lycée, le garçon commença à avoir de mauvaises fréquentations. La tristesse qu’il ressentait alors se changeait lentement en colère, et côtoyer des voyous comme certains adultes aimaient les appeler n’aidait pas vraiment. Il fut plusieurs fois accompagné au poste de police, pour des délits mineurs. Principalement du vol à l’étalage. Bien qu’étant un gamin tourmenté, Amaël n’était pas assez idiot pour toucher à la drogues ou autres affaires toutes aussi dangereuses. Voler dans les grandes surfaces était plutôt son truc, et certains policiers s’étaient même prit d’empathie pour lui. Au point que l’un d’entre eux fini par devenir sa dernière famille d’accueil.

Durant deux ans il fut ballotté de famille en famille jusqu’à ce que l’agent de police Matthews se porte volontaire pour devenir la famille d’accueil d’Amaël. C’était un homme d’une quarantaine d’années, divorcé et sans enfants. Un homme bon qui permit au garçon de revenir sur le droit chemin. Il lui apprit à canaliser sa colère par le biais du sport, lui permit de découvrir que contrairement à ce qu’il croyait, il avait bel et bien un avenir derrière lui. Et pas un miteux comme il se l’imaginait. Il l’aida durant ses études, et même losqu’Amaël atteint la majorité, il resta présent pour lui. L’héritage qu’il reçut de ses parents lui permit de financer ses études, rare garçon parmi un nombre important de filles… Oui, amaël étudiait pour devenir infirmier. Devenir médecin ou bien chirurgien lui aurait plus, mais il devait rester réaliste, il n’avait pas l’argent, la patience ou la concentration nécessaire pour faire de telles études.
Mais il ne s’en plaint pas. Aujourd’hui Amaël est heureux. A son tour, il vient en aide à des adolescents. Il rend régulièrement visite à sa mère et à l’agent Matthews qui lui répète sans cesse de s’assagir un peu. Mais il ne peut pas… ou plutôt ne veut pas. A trente-quatre ans, il sait qu’il devrait commencer à se poser, peut être fonder une famille et arrêter de se comporter comme s’il était immortel. Mais il sait à quel point la vie est courte. Et tout ce qu’Amaël veut, c’est en profiter avant qu’il ne soit trop tard.